Pardon et aveu

"Quand on se réunit pour écouter la parole de Dieu, pour examiner sa vie, pour regretter sincèrement ses fautes, on peut prétendre aux bienfaits de la miséricorde divine. Dans ces conditions, on peut se demander pourquoi le célébrant ne peut poser le geste du pardon pour l'ensemble des fidèles rassemblés." Rodrigue Bélanger. "Avouer, c'est refuser le fatalisme comme guide pour interpréter ma vie. C'est poser : je suis un être responsable. Assumer ainsi ce que j'ai fait de mal est une affirmation essentielle de ma liberté humaine. Et c'est alors un acte de loyauté et de courage, qui libère encore plus profondément ma liberté. En tenant à l'aveu personnel, l'Eglise fait une oeuvre d'humanité." Roger Ebacher.