Mémoires d'un fils de paysans tourangeaux entré en communisme. L'enfance dure longtemps...
Comment expliquer que des millions de Français aient un jour adhéré au communisme ? D'où provenait le pouvoir d'attraction du parti communiste pour détenir une telle place ? Les Mémoires de Gérard Belloin apporte un éclairage singulier sur ces questions.
A quinze ans, à la Libération, dans un village de Touraine, l'auteur adhère aux Jeunesses communistes fort de l'aura du " parti des fusillés " et de la puissance de " l'effet Stalingrad " : l'armée des soviets avait défait pour la première fois le nazisme... C'est le début d'une saga qui conduit le fils de paysans à battre les campagnes pour défendre la cause puis à rejoindre la ville phare du communisme tourangeau : Saint-Pierre-des-Corps et ses cheminots... Devenu permanent, Gérard Belloin entre dans la famille communiste avec ses grands et ses petits secrets. Après avoir dirigé l'école des cadres, il se retrouve à la " section des intellectuels ". On rencontre au fil des pages Aragon, Picasso, Althusser, Garaudy et bien d'autres... Longtemps, il fera taire ses doutes sur la réalité du communisme soviétique : un pays capable d'envoyer Gagarine dans l'espace pouvait-il générer le Goulag ? En 1979, au bout de trente années d'engagement total, après avoir entamé une psychanalyse, l'auteur quitte le PCF.
Dans ce récit autobiographique souvent poignant, Gérard Belloin brosse le portrait d'une France rurale et urbaine travaillée, pour le meilleur et pour le pire, par ce qui fut une grande espérance politique. Ce livre est aussi le bilan d'un homme que le communisme a marqué au plus profond de son être. En épousant corps et âme la cause du Parti, le fils de paysans pensait trouver dans le militantisme communiste le moyen de se réaliser tout en restant fidèle à ses origines. Mais l'enfance dure longtemps...
A quinze ans, à la Libération, dans un village de Touraine, l'auteur adhère aux Jeunesses communistes fort de l'aura du " parti des fusillés " et de la puissance de " l'effet Stalingrad " : l'armée des soviets avait défait pour la première fois le nazisme... C'est le début d'une saga qui conduit le fils de paysans à battre les campagnes pour défendre la cause puis à rejoindre la ville phare du communisme tourangeau : Saint-Pierre-des-Corps et ses cheminots... Devenu permanent, Gérard Belloin entre dans la famille communiste avec ses grands et ses petits secrets. Après avoir dirigé l'école des cadres, il se retrouve à la " section des intellectuels ". On rencontre au fil des pages Aragon, Picasso, Althusser, Garaudy et bien d'autres... Longtemps, il fera taire ses doutes sur la réalité du communisme soviétique : un pays capable d'envoyer Gagarine dans l'espace pouvait-il générer le Goulag ? En 1979, au bout de trente années d'engagement total, après avoir entamé une psychanalyse, l'auteur quitte le PCF.
Dans ce récit autobiographique souvent poignant, Gérard Belloin brosse le portrait d'une France rurale et urbaine travaillée, pour le meilleur et pour le pire, par ce qui fut une grande espérance politique. Ce livre est aussi le bilan d'un homme que le communisme a marqué au plus profond de son être. En épousant corps et âme la cause du Parti, le fils de paysans pensait trouver dans le militantisme communiste le moyen de se réaliser tout en restant fidèle à ses origines. Mais l'enfance dure longtemps...
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EAN
9782708235311
Caractéristiques
| EAN | 9782708235311 |
|---|---|
| Titre | Mémoires d'un fils de paysans tourangeaux entré en communisme. L'enfance dure longtemps... |
| Auteur | Belloin Gérard |
| Editeur | ATELIER |
| Largeur | 165mm |
| Poids | 635gr |
| Date de parution | 18/10/2000 |
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