La musique au pas. Etre musicien sous l'Occupation
Le Bail Karine
CNRS EDITIONS
Résumé :
Peu après la défaite française de 1940, les musiciens, comme l'ensemble des artistes, reprennent leurs activités. La musique est mise à l'honneur par le régime de Vichy, tandis que les Allemands entendent en faire l'instrument d'une domination culturelle visant à édifier " l'Europe nouvelle ". Karine Le Bail signe la première étude sur cette mise au pas des musiciens français sous l'Occupation. Salles de concert, studios d'enregistrement, Radio-Paris et Radio-Vichy, compositeurs et interprètes en vogue, mondanité franco-allemandes autour des grandes oeuvres du répertoire musical européen...
Si une poignée de musiciens choisit, à partir de 1941, le camp de la résistance à l'envahisseur, la plupart s'accommodent des circonstances, profitant de l'absence de concurrence étrangère conjuguée à la mise à l'écart des artistes exclus par les lois antijuives. Les compositeurs Alfred Cortot ou Max d'Ollone, la cantatrice Claire Croiza ou le ténor Thomas Salignac s'engagent dans la Collaboration à des degrés divers et pour des motifs différents : engagement politique, opportunisme carriériste, besoin de travailler, soumission à l'autorité ou au groupe...
A partir d'archives inédites tant françaises qu'allemandes, Karine Le Bail dévoile ici un pan ignoré de la vie culturelle pendant les années noires.
Peu après la défaite française de 1940, les musiciens, comme l'ensemble des artistes, reprennent leurs activités. La musique est mise à l'honneur par le régime de Vichy, tandis que les Allemands entendent en faire l'instrument d'une domination culturelle visant à édifier " l'Europe nouvelle ". Karine Le Bail signe la première étude sur cette mise au pas des musiciens français sous l'Occupation. Salles de concert, studios d'enregistrement, Radio-Paris et Radio-Vichy, compositeurs et interprètes en vogue, mondanité franco-allemandes autour des grandes oeuvres du répertoire musical européen...
Si une poignée de musiciens choisit, à partir de 1941, le camp de la résistance à l'envahisseur, la plupart s'accommodent des circonstances, profitant de l'absence de concurrence étrangère conjuguée à la mise à l'écart des artistes exclus par les lois antijuives. Les compositeurs Alfred Cortot ou Max d'Ollone, la cantatrice Claire Croiza ou le ténor Thomas Salignac s'engagent dans la Collaboration à des degrés divers et pour des motifs différents : engagement politique, opportunisme carriériste, besoin de travailler, soumission à l'autorité ou au groupe...
A partir d'archives inédites tant françaises qu'allemandes, Karine Le Bail dévoile ici un pan ignoré de la vie culturelle pendant les années noires.
27,00 €
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EAN
9782271069955
Caractéristiques
EAN | 9782271069955 |
---|---|
Titre | La musique au pas. Etre musicien sous l'Occupation |
Auteur | Le Bail Karine |
Editeur | CNRS EDITIONS |
Largeur | 150mm |
Poids | 650gr |
Date de parution | 24/03/2016 |
Nombre de pages | 440 |
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