Fragments de différents reportages, les photographies de Michel Eisenlohr ont pour fil rouge ces zones de transition entre la vision première et ce que l'on ressent au-delà de l'image. Le cadre (im)posé sert alors à convoquer l'imaginaire vers le hors champ, à donner à voir autre chose. Une première étape vers l'ailleurs. Ce thème a inspiré Lucite Bordes à la fois sur la posture et le propos. Elle a écrit comme à la fenêtre, depuis la première personne du singulier, avec en tête les motifs universels de la frontière, du passage, de la traversée.