Le destin d'un ange. Roman

Afin de libérer son père, Virginie finit par offrir son corps au commandant de brigade, qui avait aussitôt assouvi ses instincts pervers. Ainsi, au grand prix de l'amour pour son père, elle venait de sacrifier la précieuse substance liée à la sacralité de sa nature de femme, à un dangereux délinquant des forces armées. Suite à ce traumatisme, Virginie sombra dans une suite ininterrompue de maladies dépressives. Ne pouvant plus longtemps se contenir, elle prit le soin de confesser cela par écrit en ces termes : "l'amour d'un enfant pour ses parents est si énorme qu'il mérite parfois plusieurs sacrifices pour sa sauvegarde ; que mon sang soit la semence fertile de votre vengeance" et, elle rendit l'âme !