Khiva. Au galop vers les Cités interdites d'Asie centrale 1875-1876
Résumé :
Hiver 1876. Un officier britannique du genre casse-cou vient d'apprendre que le tsar a décidé d'interdire l'accès de l'Asie centrale à tout étranger, pour pouvoir " pacifier " ces contrées à la manière russe (déjà !)... et réduire du même coup le khan de Khiva, dernier descendant des empereurs mongols. L'officier en question s'appelle Burnaby, parle une demi-douzaine de langues et s'est déjà fait connaître par quelques exploits plutôt culottés. Passant outre à l'interdiction, il saute en selle... bien résolu à gagner Khiva l'inaccessible. Le bouillant cavalier, qui épuise sous lui plusieurs montures à la grande joie des cosaques du lieu, fins connaisseurs en l'affaire, s'égare un peu (les cartes dont il dispose sont des plus approximatives), vide force flacons de vodka en compagnie de ces braves Russes qui luttent contre le froid par la cirrhose, sauve ses membres du gel en les plongeant dans des tubs d'eau bien froide, se démène avec son minuscule cocher tatar pour échapper aux maquignons véreux, aux policiers, aux détrousseurs, fréquente des auberges sordides et des palais dignes des Mille et Une Nuits - et parvient, après maintes tribulations, à atteindre Khiva la légendaire. Michel Strogoff fit-il mieux ? Pas sûr. Sa Russie en tout cas, pour ce qui est de la truculence, du désordre à tous les niveaux, de la canaillerie et de la fraternité humaine, n'arrive pas à la cheville de celle de Burnaby. Car le livre de l'Anglais, écrit comme l'on monte, est conduit de bout en bout à la cravache, et par un bonhomme qui nous conquiert d'abord parce qu'il est un grand vivant : il s'émerveille, il râle, il galope, il cause, il boit, il... Ce gaillard est un concentré d'énergie. C'est aussi quelqu'un qui sait voir et qui ne s'embarrasse pas de préjugés. Bref, on est délicieusement bien avec lui, et l'on en reprendrait encore pour quelques milliers de verstes... mais les meilleures choses ont une fin. Ce classique de la littérature aventureuse, traduit dans toutes les langues, était introuvable en édition française depuis plus de cent ans.
Hiver 1876. Un officier britannique du genre casse-cou vient d'apprendre que le tsar a décidé d'interdire l'accès de l'Asie centrale à tout étranger, pour pouvoir " pacifier " ces contrées à la manière russe (déjà !)... et réduire du même coup le khan de Khiva, dernier descendant des empereurs mongols. L'officier en question s'appelle Burnaby, parle une demi-douzaine de langues et s'est déjà fait connaître par quelques exploits plutôt culottés. Passant outre à l'interdiction, il saute en selle... bien résolu à gagner Khiva l'inaccessible. Le bouillant cavalier, qui épuise sous lui plusieurs montures à la grande joie des cosaques du lieu, fins connaisseurs en l'affaire, s'égare un peu (les cartes dont il dispose sont des plus approximatives), vide force flacons de vodka en compagnie de ces braves Russes qui luttent contre le froid par la cirrhose, sauve ses membres du gel en les plongeant dans des tubs d'eau bien froide, se démène avec son minuscule cocher tatar pour échapper aux maquignons véreux, aux policiers, aux détrousseurs, fréquente des auberges sordides et des palais dignes des Mille et Une Nuits - et parvient, après maintes tribulations, à atteindre Khiva la légendaire. Michel Strogoff fit-il mieux ? Pas sûr. Sa Russie en tout cas, pour ce qui est de la truculence, du désordre à tous les niveaux, de la canaillerie et de la fraternité humaine, n'arrive pas à la cheville de celle de Burnaby. Car le livre de l'Anglais, écrit comme l'on monte, est conduit de bout en bout à la cravache, et par un bonhomme qui nous conquiert d'abord parce qu'il est un grand vivant : il s'émerveille, il râle, il galope, il cause, il boit, il... Ce gaillard est un concentré d'énergie. C'est aussi quelqu'un qui sait voir et qui ne s'embarrasse pas de préjugés. Bref, on est délicieusement bien avec lui, et l'on en reprendrait encore pour quelques milliers de verstes... mais les meilleures choses ont une fin. Ce classique de la littérature aventureuse, traduit dans toutes les langues, était introuvable en édition française depuis plus de cent ans.
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EAN
9782859407292
Caractéristiques
| EAN | 9782859407292 |
|---|---|
| Titre | Khiva. Au galop vers les Cités interdites d'Asie centrale 1875-1876 |
| Auteur | Burnaby Frederick Gustavus |
| Editeur | PHEBUS |
| Largeur | 139mm |
| Poids | 335gr |
| Date de parution | 31/03/2001 |
| Nombre de pages | 312 |
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