Le cycle des résurrections. Epître de saint Paul aux Corinthiens ; You are my destiny (Le viol de Lu

Liddell Angélica ; Vasserot Christilla

SOLITAIRES INT







Extrait

PREMIÈRE ÉPÎTRE AUX CORINTHIENS, 13 1. Quand bien même je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n'ai pas l'amour, je suis une pièce de bronze qui résonne ou une cymbale qui retentit. 2. Quand bien même j'aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand bien même j'aurais toute la foi qui transporte des montagnes, si je n'ai pas l'amour, je ne suis rien. 3. Quand bien même je distribuerais tous mes biens et livrerais mon corps aux flammes, si je n'ai pas l'amour, cela ne me sert à rien. 4. L'amour est patient, il est plein de bonté. L'amour n'est pas envieux, il ne se vante pas, il ne s'enfle pas d'orgueil. 5. Il ne fait rien d'inconvenant, il ne cherche pas son propre intérêt, il ne s'irrite pas, il ne tient pas compte du mal. 6. Il ne se réjouit pas de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité. 7. Il pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout. 8. L'amour ne périt jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra. 9. Car notre science est imparfaite, de même que nos prophéties. 10. Mais quand viendra la perfection, ce qui est imparfait disparaîtra. 11. Lorsque j'étais enfant, je parlais comme un enfant, je pensais, je raisonnais comme un enfant. Lorsque je suis devenu homme, j'ai fait disparaître ce qui était de l'enfant. 12. À présent, nous ne voyons qu'une image confuse, pareille à celle d'un vieux miroir, mais alors nous verrons face à face. À présent, je ne connais que partiellement, mais alors je connaîtrai comme je suis connu. 13. Maintenant donc trois choses demeurent : la foi, l'espérance et l'amour ; mais la plus grande des trois, c'est l'amour. * LE CONTE DE LA NEIGE Prologue Ce matin, je voyais les belles choses qui sont sur terre, des poulains en train de téter leurs mères, des amandiers en fleur, l'échiné élégante des animaux, et j'ai pensé : la réponse est là, Dieu n'a pas créé la beauté pour moi. Chaque fois que je m'aventure à la regarder, il me punit, c'est comme coudre la bouche d'un affamé. Quand j'avale de la nourriture, c'est comme si je te trahissais, c'est un manque de respect à la faiblesse que je te dois. Je te dois tant de faiblesse que, pour me tuer, j'aurais juste besoin d'un fil de soie autour de mon cou. Je mets donc le pain dans ma bouche comme si je communiais. Je suis pendue au plafond par des guirlandes d'encens. Et de la même façon que j'ai avalé le pain, je le vomis. Et c'est ainsi que je maudis le monde. 1. Premier voeu Si douloureux est le secret Que le ciel ne peut plus supporter mon silence Voilà pourquoi il neigera, il neigera au printemps Ton ombre brisera les lances du soleil Toi-même tu ne comprends pas ton ombre Mais quand tu verras que le soleil n'existe plus, tu comprendras (...)



15,00 €
En rupture de stock
EAN
9782846814355
Découvrez également sur ce thème nos catégories Arts , Soldes , Sciences humaines , Santé , Promotions , Papeterie , Littérature , Langues et Scolaire , Jeux-Jouets , BD-Manga , Bons cadeaux Internet , Chèques cadeaux , Emballages , Frais de port , Histoire - Actu - Eco , Jeunesse , Entreprise - Droit - Economie , Loisirs et nature , Sciences , Voyage , Histoire - Actu , Occasions dans la section Livres